(en néerlandais, voir plus loin / nederlandse vertaling, zie verder)
Pour comprendre le paysage politique de notre commune, une importante période doit être rappelée. En 1982, les jeunes francophones prennent le pouvoir, José Happart est démocratiquement élu bourgmestre. La Flandre refuse sa nomination. Pays en crise. Gouvernement Martens tombe ! Un accord à la belge est trouvé. Le 9 août 1988, le gouvernement vote la : LOI DE PACIFICATION COMMUNAUTAIRE LINGUISTIQUE.
Cette loi est acceptée et signée par José Happart et Huub Broers. Cette loi est bétonnée dans la constitution belge. Elle ne pourra être modifée qu’avec l’accord d’une majorité des 2/3 au fédéral et dans chaque Région (Flamande et Wallonne).
Aucun décret ou loi émanant d’une Région quelconque ne pourra modifier cette loi.
- Fourons devient commune à facilités linguistiques.
- Happart abandonne son écharpe mayorale.
- Les électeurs européens (néerlandais) peuvent voter pour les membres du conseil communal, mais PAS POUR LE CPAS. Pourquoi ? Huub Broers connaît la réponse !
Mais pourquoi inciter Madame Van Gestel, néerlandaise d’origine, à ajouter à l’agenda du conseil communal le point promettant aux néerlandais qu’en 2030, ils pourront voter pour le CPAS. Quel exploit éléctoral ! Mais quel manque de respect (peut-être ?) envers cette dame, mais surtout envers les citoyens d’origine néerlandaise. QUELLE HYPOCRISIE !
Chers membres de Voerbelangen, dans votre campagne éléctorale, vous parlez d’entamer une procédure envers les autorités belges et européennes dans le but d’aller chercher la majorité des 2/3 de voix nécessaires pour modifier la loi de pacification.
Monsieur Broers et membres de Voerbelangen, nous, RAL, avons la solution !
Demain, vous aurez les 2/3 de voix wallonnes qui vous manquent. Seule condition, vous appliquez et respectez en son entièreté la loi de pacification que vous avez vous-mêmes signée en 1988 ! Tout compte fait, en tant que démocrates, nous sommes pour le droit de vote des néerlandais.
En 2000 Voerbelangen prend la majorité grâce à la participation démocratique et massive des fouronnaises et fouronnais d’origine néerlandaise. Broers devient bourgmestre, se référant à des décrets sans aucune valeur, il interprète à sa façon l'accord qu’il a signé en 1988. C’est le début du dénigrement et du harcèlement contre tout ce qui est francophone. Voerbelangen persiste dans cette idée.
Ils font leur campagne éléctorale dans les quatre langues. C’est très bien. Mais alors pourquoi refuser aux francophones la version française des convocations pour aller voter ? Les tas des deux versions (flamand/français) se trouvent sur leurs bureaux. Il suffit d’une petite agrafe !
Que dire de la dame francophone qui se voit refuser une procuration en lui signalant que le vote n’est pas obligatoire ?
Chères fouronnaises, chers fouronnais, nous vous invitons à venir assister à une réunion du conseil communal afin d’être témoins de la haine des membres de Voerbelangen contre le français !
La question est posée. Est-ce que monsieur Broers et les élus de Voerbelangen sont encore crédibles ? Le premier cité renie son accord du 9 août 1988 et est un précurseur d’un parti nationaliste qui œuvre pour la scission de notre pays ! Les élus de Voerbelangen sont possédés par l’hypocrisie (campagne en quatre langues, mais mépris du français au conseil communal).
La réaction positive des nouveaux fouronnais francophones concernant leur premier contact avec notre administration communale nous réjouit ! Notre action a porté ses fruits !
Nous mettons toute notre énergie à dévoiler toute attaque contre le français, à récupérer nos droits linguistiques (attribués par la loi de pacification) et qu’aux Fourons le français reste considéré comme langue officielle. C’est une garantie pour une cohabitation dans un respect mutuel.
TOUS ENSEMBLE POUR LE CHANGEMENT !
Si le vote n’est pas obligatoire, de grâce, venez voter ! Ne laissez à personne d’autre le choix de décider de votre avenir. Surtout aux Fourons. Mesdames, messieurs, si vous partagez nos idées et, en connaissance de cause, vous ferez le bon choix ! Rendez-vous le 13 octobre !
Robert LIEBENS – 13ème de liste
En votant pour plusieurs candidats sur la même liste, vous les remerciez pour leur dévouement et leur courage.
RAL : Respect Avenir Liberté (Respect Toekomst Vrijheid)
Voor de verandering
Al 60 jaar ! Tijd om een kat een kat te noemen !
Voor het begrijpen van het politiekelandschap van onze gemeente, is het nodig om enkele herinneringen aantehalen. In 1982 neemt de franstalige jeugd het roer over. José Happart wordt democratisch tot burgemeester verkozen. Vlaanderen weigert zijn benoeming. Land in crisis. Regering Maertens valt. Een akkoord “à la belge” wordt gevonden. Op 9 augustus 1988 stemt de regering de :
COMMUNAUTAIRE TAALPACIFICATIEWET. GOED !
Deze wet is ook ondertekend door José Happart en Huub Broers. Deze wet is gebeiteld in de Belgische grondwet. Voor iedere aanpassing is er een 2/3 meerderheid nodig op federaal niveau en ook in iedere deelstaat.
Geen enkel decreet of “wet” komende van een deelstaat heeft geen inpakt op deze wet !
- Voeren worden een taalfaciliteit gemeente.
- Happart is burgemeester af.
- De euroburgers mogen stemmen voor de leden van het gemeentebestuur maar niet voor het OCMW. Waarom ? Huub Broers kent het antwoord !
Maar waarom dan een gemeenteraadslid met Nederlands origine, mw Van Gestel aanzetten om een punt toe te voegen aan de agenda van de gemeenteraad, belovend dat de Nederlanders in 2030 voor het OCMW mogen stemmen. Chapeau voor de verkiezingsstunt ! Maar wel respectloos (misschien ?) tegenover deze dame, maar vooral respectloos tegenover de voerenaars met Nederlandse origine. Hypocritischer kan niet ! Beste leden van Voerbelangen in uw verkiezingscampagne schrijft u, een procedure te starten bij de Belgische en Europese overheid om de vereiste 2/3 meerderheid stemmen te halen om de pacifcatiewet aan te passen.
Meneer Broers en leden van Voerbelangen, wij, RAL hebben de oplossing !
Morgen kunnen wij u die 2/3 Waalse stemmen halen. Onder voorwaard dat u de pacificatiewet die u ondertekend heeft in 1988, toepast en respecteert ! Alles bij alles, wij zijn vöör het stemrecht voor de Nederlanders.
In 2000 door de massale en democratische stemmen van de Nederlanders wordt de heer Broers burgemeester. Zich refererend aan verschillende waardeloze decreten begint hij met denigreren en lastigvallen van alles wat Franstalig is. Voerbelangen neemt dat gedachtengoed over.
Zij maken hun verkiezingscampagne in vier talen. Goed bedacht ! Maar waarom dan de weigering om de Franstalige verkiezingsconvocaties te sturen ? De twee stapels (Nederlands/Frans) liggen naast mekaar op hun bureau. Waarom het nietje niet gebruiken ?
Welke interpretatie bij het feit van die Franstaligen dame aan wie een procuratie werd geweigerd met de woorden stemmen is niet verplicht … ?
Beste voerenaars, wij nodigen u uit om deel te nemen aan een gemeenteraadsvergadering en al zo getuigen te zijn van de haat tegenover de Franse taal.
De vraag is gesteld : zijn, meneer Broers en leden van Voerbelangen geloofwaardig? Hij is voorloper van een politieke partij die de splitsing van België in hun vaandel draagt. De gekozen van Voerbelangen zijn bezeten van hypocrisie (een viertalen campagne voeren en het Frans verguizen tijdens de gemeenteraad. Hypocritischer kan niet !).
De positieve reactie van de Franstaligen nieuwkomers betreffende het eerste contatc met onze gemeenteadministratie stelt ons gerust ! Onze actie heeft haar vruchten afgeworpen ! We zullen onze energie gebruiken om iederen aanval tegen het Frans te onthullen en zodat in Voeren het Frans aangezien wordt als een officieële taal. Dat is een garantie voor een respectvolle samenleving.
ALLEN SAMEN VOOR VERANDERING
Zelfs af het stemmen niet verplicht is, raden wij u aan : kom stemmen ! Laat aan niemand de keuze om over uw toekomst te beslissen. Vooral in Voeren. Dames en heren deelt u ons gedachtengoed en met de nodige inlichtingen zult u de goede keuze maken ! Afspraak op 13 octobre !
Robert LIEBENS – 13de op de lijst
Stem op meerdere kandidaten op dezelfde lijst om hem te bedanken voor hun moed en toewijding.
Commentaires
Monsieur Droeven,
dans votre texte je lis que les Fourons sont devenus une commune à facilités lors de la loi spéciale de 1988. Non, notre commune est une commune à facilités depuis 1963 (loi de 1962).
Suivant la loi de pacification le cpas doit être élu "directement par l'assemblée des électeurs de la commune." En néerlandais "direct verkozen door de vergadering van de gemeenteraadskiezers". Depuis les élections d'octobre 2000 ces électeurs sont Belges et non-belges.
De ces non-Belges, vous (du côté de votre femme) et moi, nous en avons dans nos propres familles. Ne faisons donc pas de distinction arbitraire, n'est-ce pas!
En fait la loi ne devrait même pas être changée (comme vous le croyez) puisque le texte est clair. Il faut simplement une application correcte.
La loi de facilités y est pour les habitants. Ce droit n'existe PAS pour les élus pendant les séances. Le Conseil d'Etat (juin 2024) a rejeté la demande de l'emploi du français au conseil communal de la commune de Linkebeek. En devenant conseiller on est donc obligé d'employer le néerlandais dans les conseils.
Comme bourgmestre j'ai toujours reçu les habitants dans leur propre langue. Ce qu'on ne pouvait pas dire de tous mes prédécesseurs (ou bien toujours absents pendant la journée ou bien ne connaissant pas le néerlandais)
Monsieur Droeven,
dans votre texte je lis que les Fourons sont devenus une commune à facilités lors de la loi spéciale de 1988. Non, notre commune est une commune à facilités depuis 1963 (loi de 1962).
Suivant la loi de pacification le cpas doit être élu "directement par l'assemblée des électeurs de la commune." En néerlandais "direct verkozen door de vergadering van de gemeenteraadskiezers". Depuis les élections d'octobre 2000 ces électeurs sont Belges et non-belges.
De ces non-Belges, vous (du côté de votre femme) et moi, nous en avons dans nos propres familles. Ne faisons donc pas de distinction arbitraire, n'est-ce pas!
En fait la loi ne devrait même pas être changée (comme vous le croyez) puisque le texte est clair. Il faut simplement une application correcte.
La loi de facilités y est pour les habitants. Ce droit n'existe PAS pour les élus pendant les séances. Le Conseil d'Etat (juin 2024) a rejeté la demande de l'emploi du français au conseil communal de la commune de Linkebeek. En devenant conseiller on est donc obligé d'employer le néerlandais dans les conseils.
Comme bourgmestre j'ai toujours reçu les habitants dans leur propre langue. Ce qu'on ne pouvait pas dire de tous mes prédécesseurs (ou bien toujours absents pendant la journée ou bien ne connaissant pas le néerlandais)
Monsieur Broers, cher collègue,
Vous devriez changer de lunettes car vous confondez les candidats Liebens et Droeven.
Mon fils a publié un toutes boîtes prônant le " vivre ensemble ".
Contrairement à vous, aucun membre de ma famille n'a jamais été en tête des manifestations ayant pour but d'attiser la haine entre Fouronnais. Nous réclamons juste nos droits citoyens d'accès à notre culture et à notre langue.
Votre réaction est déplacée et j'espère que vous allez éditer un démenti.
Nico Droeven
Ancien Bourgmestre, ancien Président du CPAS,
42 ans de mandats au service de la population fouronnaise
Bonjour Monsieur Broers ,
Avec tout le respect que j’ai pour vous malgré nos divergences d’opinions , vous vous méprenez . Pour un ancien professeur de français , n’apprend-on pas à ses élèves à lire les énoncés et les signatures de tout un texte .
Mais puisqu'il en est ainsi je vais quand même vous indiquer que celui-ci ne vient pas de moi mais a été rédigé par un membre ( lire le titre , la signature et voir la photo) de notre groupe Respect Avenir Libertés dont nous défendons des valeurs similaires .
Pour ce qui est des membres de ma famille , notamment du côté de mon épouse , ses parents, sa grand-mère je ne fais pas de distinction arbitraire et comme tout bon fouronnais qui se respecte parlons la langue bien de chez nous
Mes excuses Nico et fils, j'avoue que je me suis trompé de nom. Se rendre compte d'une erreur nécessite la correction.
Offrir des excuses à celui qu'on a "vexé", se fait en proportion de ce qui l'a blessé. A vous de choisir quelles excuses je dois vous présenter en me trompant de nom.
Je sais qu'il ne suffit pas de s'excuser pour être pardonné. Il faudrait le prouver. Mais ne craignez rien, je ne le ferai pas en votant pour vous le 13 octobre. Et je ne vais non plus me tromper de nom...
En ce qui concerne le petit livret, j'ai constaté qu'on m'a "oublié" en passant par notre rue. Mes archives seront donc incomplètes.
Suite ….
Laissons la politique d’un côté et la famille de l’autre .
Pour ma part et vous pouvez relire mon texte de présentation dans le petit livret RAL . Quel est mon souhait ?
Bonne journée et à dimanche .
Martial Droeven
Suite ….
Laissons la politique d’un côté et la famille de l’autre .
Pour ma part et vous pouvez relire mon texte de présentation dans le petit livret RAL . Quel est mon souhait ?
Bonne journée et à dimanche .
Martial Droeven
J'attends votre démenti Mr Broers,
Nico Droeven